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Sirop d'algopyrine fièvre et douleurs enfants ibuprofène 100mg fraise 042178020

  • So.Se.Pharm S.r.l.
  • 042178020

L'algopyrine fièvre et douleur est un médicament à base d'ibuprofène indiqué dans le traitement symptomatique de la fièvre et des douleurs légères ou modérées.

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ALGOPIRIN FIÈVRE DOL* 150ML AR

Indications thérapeutiques

Traitement symptomatique de la fièvre et des douleurs légères à modérées.

Posologie et mode d'utilisation

Dosage: La dose quotidienne est structurée en fonction du poids et de l'âge du patient. Les effets indésirables peuvent être minimisés en utilisant la dose efficace la plus faible pendant la durée de traitement la plus courte possible nécessaire pour contrôler les symptômes (voir rubrique 4.4). Chez les enfants âgés de 3 à 6 mois, limiter l'administration à ceux pesant plus de 5,6 kg. Modes d'administration : L'administration orale chez les nourrissons et les enfants âgés de 3 mois à 12 ans doit être effectuée à l'aide de la seringue doseuse fournie avec le produit. Les patients souffrant de problèmes d'estomac peuvent prendre le médicament avec les repas. L'échelle graduée sur le corps de la seringue met en évidence les encoches pour les différents dosages ; notamment l'encoche de 2,5 ml correspondant à 50 mg d'ibuprofène et l'encoche de 5 ml correspondant à 100 mg d'ibuprofène. La dose quotidienne de 20 à 30 mg / kg de poids corporel, divisée 3 fois par jour à des intervalles de 6 à 8 heures, peut être administrée selon le schéma suivant.

LESTER Âge DOSE UNIQUE en ml nombre maximum d'ADMINISTRATIONS / jour
5.6 -7 Kg 3 - 6 mois 2,5 ml 3 en 24 heures
7 -10 Kg 6 - 12 mois 2,5 ml
10 - 15 Kg 13 ans 5ml
15 - 20Kg 4 - 6 ans 7,5 ml (5 ml + 2,5 ml)
20 - 28 kg 7 - 9 ans 10ml
28 - 43 kg 10 - 12 ans 15ml

Populations particulières : En cas de fièvre post-vaccinale se reporter à la posologie indiquée ci-dessus en administrant une dose unique suivie, si nécessaire, d'une autre dose après 6 heures. Ne pas administrer plus de deux doses en 24 heures. Consultez votre médecin si la fièvre ne diminue pas. Le produit est destiné aux traitements de courte durée. Si l'utilisation du médicament est nécessaire pendant plus de 3 jours chez le nourrisson et l'enfant de plus de 6 mois et l'adolescent, ou en cas d'aggravation des symptômes, le médecin doit être consulté. Chez les nourrissons âgés de 3 à 5 mois, un médecin doit être consulté si les symptômes persistent pendant plus de 24 heures ou si les symptômes s'aggravent.Mode d'emploi de la seringue doseuse :1- Dévissez le bouchon en le poussant vers le bas et en le tournant vers la gauche. 2- Insérez l'embout de la seringue à fond dans le trou du sous-bouchon. 3- Bien agiter. 4- Retourner le flacon, puis, en tenant fermement la seringue, tirer doucement le piston vers le bas, en faisant couler la suspension dans la seringue jusqu'au repère correspondant à la dose souhaitée. 5- Remettez le flacon à l'endroit et retirez la seringue en la tournant légèrement. 6- Introduire l'embout de la seringue dans la bouche de l'enfant, et exercer une légère pression sur le piston pour drainer la suspension. Après utilisation, revisser le bouchon pour fermer le flacon et laver la seringue à l'eau tiède. Laissez sécher en le gardant hors de la portée et de la vue des enfants.

Contre-indications

• Hypersensibilité à l'ibuprofène ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1. • Enfants de moins de 3 mois ou pesant moins de 5,6 kg. • Le médicament est contre-indiqué chez les patients qui présentent ou ont déjà présenté une hypersensibilité (par exemple asthme, rhinite, œdème de Quincke ou urticaire) à l'acide acétylsalicylique ou à d'autres analgésiques, antipyrétiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en particulier lorsque l'hypersensibilité est associée à la polypose nasale et à l'asthme. • Ulcère peptique actif. • Insuffisance rénale ou hépatique sévère (voir rubrique 4.4). • Insuffisance cardiaque sévère (NYHA classe IV) (voir rubrique 4.4). • Antécédents d'hémorragie gastro-intestinale ou de perforation liée à des traitements actifs antérieurs ou antécédent d'ulcère peptique/d'hémorragie récurrents (deux ou plusieurs épisodes distincts d'ulcération ou d'hémorragie avérée). • Utilisation concomitante d'AINS, y compris d'inhibiteurs spécifiques de la COX-2. • Au cours du dernier trimestre de la grossesse (voir rubrique 4.6).

Effets secondaires

La liste des effets indésirables suivants comprend tous ceux qui ont été reconnus au cours d'un traitement par l'ibuprofène pour des durées de traitement courtes et pour des doses quotidiennes jusqu'à un maximum de 1200 mg. Dans le cas de traitements à fortes doses pour des maladies chroniques ou prolongées, d'autres effets indésirables peuvent survenir. Les effets secondaires observés avec l'ibuprofène sont communs aux autres antalgiques, antipyrétiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens. Les effets indésirables associés à l'administration d'ibuprofène sont répertoriés ci-dessous par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit : Très fréquent (≥ 1/10) Fréquent (≥ 1/100,

Classification des systèmes et des organes La fréquence Effet indésirable
Infections et infestations Rare Cystite, rhinite
Très rare Aggravation de l'inflammation liée à l'infection (par exemple, développement d'une fasciite nécrosante), dans des cas exceptionnels, des infections cutanées graves et des complications des tissus mous ont été trouvées lors d'une infection par la varicelle
Troubles du système sanguin et lymphatique Très rare Troubles de l'hématopoïèse ¹
Troubles du système immunitaire Rare Réactions d'hypersensibilité se manifestant par de l'urticaire et des démangeaisons²
Très rare Réactions d'hypersensibilité sévères incluant gonflement du visage, de la langue et du larynx, dyspnée, tachycardie, hypotension (anaphylaxie, œdème de Quincke ou choc sévère)
Troubles du métabolisme et de la nutrition Pas connu Rétention d'eau et diminution de l'appétit³
Troubles psychiatriques Pas connu Irritabilité
Rare Dépression, insomnie, difficultés de concentration, labilité émotionnelle, troubles visuels et auditifs
Troubles du système nerveux Rare Maux de tête, étourdissements, somnolence, convulsions
Très rare Méningite aseptique4
Rare Hémorragie cérébrovasculaire
Troubles oculaires Rare Œil sec
Troubles de l'oreille et du labyrinthe Pas connu Acouphène
Pathologies cardiaques Pas connu Insuffisance cardiaque et œdème5
Rare Palpitations
Pathologies vasculaires Pas connu Hypertension5et choc
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux Pas connu Réactivité des voies respiratoires incluant asthme, obstruction du larynx, bronchospasme ou apnée, dyspnée
Problèmes gastro-intestinaux Rare Douleurs abdominales, nausées et dyspepsie6
Rare Diarrhée, flatulences, bouche sèche, constipation et vomissements.
Très rare Ulcère peptique, perforation ou saignement gastro-intestinal, méléna et hématémèsesept. Ulcérations buccales et gastrite
Pas connu Exacerbation de la colite et de la maladie de Crohn8, pancréatite, duodénite, oesophagite
Affections hépatobiliaires Très rare Dysfonction hépatique, hépatite, ictère, syndrome hépatorénal, nécrose hépatique, insuffisance hépatique
Affections de la peau et du tissu sous-cutané Rare Diverses éruptions cutanées²
Très rare Réactions bulleuses incluant syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe et nécrolyse épidermique toxique²
Rare Dermatite exfoliative, alopécie, réactions de photosensibilité
Pas connu Réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS), pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG)
Troubles rénaux et urinaires Rare Nécrose tubulaire, néphrite glomérulaire, polyurie, hématurie
Très rare Insuffisance rénale aiguë9
Examens diagnostiques Rare Diminution des taux d'hématocrite
Très rare Diminution du taux d'hémoglobine
Description de quelques effets indésirables.

¹ Troubles de l'hématopoïèse incluant anémie, anémie aplasique, anémie hémolytique (test de Coombs positif), leucopénie, neutropénie, thrombocytopénie (avec ou sans purpura), éosinophilie, pancytopénie et agranulocytose. Les premiers symptômes peuvent être : fièvre, mal de gorge, aphtes superficiels, symptômes pseudo-grippaux, fatigue marquée, saignements de nez et hémorragies. Rarement, insuffisance cardiaque congestive chez les patients présentant une fonction cardiaque altérée. ² Réactions d'hypersensibilité : ces réactions incluent a) réactions allergiques non spécifiques et anaphylaxie, fièvre, frissons, b) réactivité des voies respiratoires, y compris asthme, asthme aggravé, bronchospasme (voir rubriques 4.3 et 4.4) ou dyspnée ou c) diverses affections cutanées qui incluent diverses éruptions cutanées (y compris de nature maculo-papuleuse), prurit, urticaire avec ou sans œdème de Quincke, purpura, œdème de Quincke et très rarement, dermatite bulleuse et exfoliative incluant nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson et érythème polymorphe. ³ Diminution de l'appétit : régresse généralement rapidement à l'arrêt du traitement (voir rubrique 4.4).4Le mécanisme pathogénique de la méningite aseptique d'origine médicamenteuse n'est pas entièrement compris. Cependant, les données disponibles sur les méningites aseptiques liées à l'administration d'AINS suggèrent une réaction immunitaire (due à une relation temporelle avec la prise médicamenteuse et la disparition des symptômes après l'arrêt du traitement). Il convient de noter que des cas isolés de symptômes de méningite aseptique (tels que raideur de la nuque, engourdissement de la nuque, maux de tête, nausées, vomissements, fièvre et désorientation) ont été observés pendant le traitement par l'ibuprofène chez des patients atteints de troubles auto-immuns (tels que le lupus érythémateux disséminé, les maladie des tissus).5Insuffisance cardiaque et œdème : Des études cliniques et des données épidémiologiques suggèrent que l'utilisation de l'ibuprofène, en particulier à des doses élevées (2400 mg/jour) et pour des traitements à long terme, peut être associée à une légère augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels (par exemple infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral) (voir rubrique 4.4). Insuffisance cardiaque congestive chez les patients présentant une fonction cardiaque altérée.6Les événements indésirables les plus fréquemment observés sont de nature gastro-intestinale. Les troubles gastriques peuvent être réduits en prenant le médicament l'estomac plein.septDes ulcères peptiques, une perforation ou une hémorragie gastro-intestinale, un méléna et parfois une hématémèse mortelle peuvent survenir.8Exacerbation de la colite et de la maladie de Crohn (voir rubrique 4.4).9Insuffisance rénale aiguë, en particulier en cas de traitement au long cours, associée à une augmentation des taux sériques d'urée et à un œdème. Une nécrose papillaire peut survenir.Déclaration des effets indésirables suspectés. La déclaration des effets indésirables suspectés survenant après l'autorisation du médicament est importante, car elle permet un suivi continu du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de la santé sont invités à signaler tout effet indésirable suspecté via le système national de notification à l'adresse https://www.aifa.gov.it/content/segnalazioni-reazioni-avverse.

Avertissements spéciaux

Dopo tre giorni di trattamento senza risultati apprezzabili consultare il medico. Gli effetti indesiderati possono essere minimizzati con l'uso della più bassa dose efficace per la più breve durata possibile di trattamento che occorre per controllare i sintomi (vedere i paragrafi sottostanti sui rischi gastrointestinali e cardiovascolari). L'uso di ALGOPIRINA FEBBRE E DOLORE deve essere evitato in concomitanza di FANS, inclusi gli inibitori selettivi della COX-2. Gli analgesici, antipiretici, antinfiammatori non steroidei possono causare reazioni di ipersensibilità, potenzialmente gravi (reazioni anafilattoidi), anche in soggetti non precedentemente esposti a questo tipo di farmaci. Il rischio di reazioni di ipersensibilità dopo assunzione di ibuprofene è maggiore nei soggetti che abbiano presentato tali reazioni dopo l'uso di altri analgesici, antipiretici, antinfiammatori non steroidei e nei soggetti con iperreattività bronchiale (asma), poliposi nasale o precedenti episodi di angioedema (vedere paragrafo 4.2 e paragrafo 4.8). Emorragia gastrointestinale, ulcerazione e perforazione: durante il trattamento con tutti i FANS, in qualsiasi momento, con o senza sintomi di preavviso o precedente storia di gravi eventi gastrointestinali, sono state riportate emorragia gastrointestinale, ulcerazione e perforazione, che possono essere fatali. Nei bambini e negli adolescenti disidratati esiste il rischio di alterazione della funzionalità renale (vedere paragrafo 4.3 e 4.8). Anziani: i pazienti anziani hanno un aumento della frequenza di reazioni avverse ai FANS, specialmente emorragie e perforazioni gastrointestinali, che possono essere fatali (vedere paragrafo 4.2). Negli anziani e in pazienti con storia di ulcera, soprattutto se complicata da emorragia o perforazione (vedere paragrafo 4.3), il rischio di emorragia gastrointestinale, ulcerazione o perforazione è più alto con dosi aumentate di FANS. Questi pazienti devono iniziare il trattamento con la più bassa dose disponibile. L'uso concomitante di agenti protettori (es. misoprostolo o inibitori di pompa protonica) deve essere considerato per questi pazienti ed anche per pazienti che assumono basse dosi di aspirina o altri farmaci che possono aumentare il rischio di eventi gastrointestinali (vedere paragrafo 4.5). Pazienti con storia di tossicità gastrointestinale, in particolare anziani, devono riferire qualsiasi sintomo gastrointestinale inusuale (soprattutto emorragia gastrointestinale) in particolare nelle fasi iniziali del trattamento. Cautela deve essere prestata ai pazienti che assumono farmaci concomitanti che potrebbero aumentare il rischio di ulcerazione o sanguinamento, come corticosteroidi orali, anticoagulanti come warfarin, inibitori selettivi del reuptake della serotonina o agenti antiaggreganti come l'aspirina (vedere paragrafo 4.5). Quando si verifica emorragia o ulcerazione gastrointestinale in pazienti che assumono ALGOPIRINA FEBBRE E DOLORE, il trattamento deve essere sospeso. I FANS devono essere somministrati con cautela ai pazienti con una storia di malattia gastrointestinale (colite ulcerosa, morbo di Crohn) poiché tali condizioni possono essere esacerbate (vedere paragrafo 4.8). Reazioni cutanee severe: Sono state segnalate raramente reazioni cutanee gravi, alcune delle quali fatali, tra cui dermatite esfoliativa, sindrome di Stevens-Johnson e necrolisi tossica epidermica in associazione con l'uso dei FANS (vedi paragrafo 4.8). I pazienti sembrano essere a più alto rischio nelle prime fasi della terapia: l'insorgenza della reazione si verifica nella maggior parte dei casi entro il primo mese di trattamento. È stata segnalata pustolosi esantematica acuta generalizzata (PEAG) in relazione a medicinali contenenti ibuprofene. Ibuprofene deve essere sospeso alla prima comparsa di segni e sintomi di reazioni cutanee severe, come eruzione cutanea, lesioni della mucosa o qualsiasi altro segno di ipersensibilità. Mascheramento dei sintomi di infezioni sottostanti: ALGOPIRINA FEBBRE E DOLORE può mascherare i sintomi di infezione, cosa che potrebbe ritardare l’avvio di un trattamento adeguato e peggiorare pertanto l’esito dell’infezione. Ciò è stato osservato nella polmonite batterica acquisita in comunità e nelle complicanze batteriche della varicella. Quando ALGOPIRINA FEBBRE E DOLORE è somministrato per il sollievo dalla febbre o dal dolore correlati a infezione, è consigliato il monitoraggio dell’infezione. In contesti non ospedalieri, il paziente deve rivolgersi al medico se i sintomi persistono o peggiorano. La varicella può eccezionalmente essere all’origine di complicazioni infettive gravi alla cute e ai tessuti molli. Ad oggi, non si può escludere il contributo dei FANS nel peggioramento di tali infezioni, pertanto si consiglia di evitare l’utilizzo di ALGOPIRINA FEBBRE E DOLORE in caso di varicella. Cautela è richiesta (discutere con il proprio medico o farmacista) prima di iniziare il trattamento nei pazienti con anamnesi positiva per ipertensione e/o insufficienza cardiaca poiché in associazione al trattamento con i FANS sono stati riscontrati ritenzione di liquidi, ipertensione ed edema. Studi clinici suggeriscono che l’uso di ibuprofene, specialmente ad alte dosi (2400 mg/die), può essere associato a un modesto aumento del rischio di eventi trombotici arteriosi (es. infarto del miocardio o ictus). In generale, gli studi epidemiologici non suggeriscono che basse dosi di ibuprofene (es. ≤ 1200 mg/die) siano associate a un aumento del rischio di infarto del miocardio. I pazienti con ipertensione non controllata, insufficienza cardiaca congestizia (II-III classe NYHA), cardiopatia ischemica accertata, malattia arteriosa periferica e/o malattia cerebrovascolare devono essere trattati con ibuprofene soltanto dopo attenta considerazione e si devono evitare dosi elevate (2400 mg/die). Attenta considerazione deve essere esercitata anche prima di avviare al trattamento a lungo termine i pazienti con fattori di rischio per eventi cardiovascolari (es. ipertensione, iperlipidemia, diabete mellito, abitudine al fumo di sigaretta), soprattutto se sono necessarie dosi elevate (2400 mg/die) di ibuprofene. L'uso di ibuprofene, di acido acetilsalicilico o di altri analgesici, antipiretici, antinfiammatori non steroidei, richiede particolare cautela: • in caso di asma o malattie allergiche in atto o pregresse: possibile deterioramento della broncocostrizione; • in presenza di difetti della coagulazione: riduzione della coagulabilità; • in presenza di malattie renali, cardiache o di ipertensione: possibile riduzione critica della funzione renale (specialmente nei soggetti con funzione renale o epatica compromessa, insufficienza cardiaca o in trattamento con diuretici), nefrotossicità o ritenzione di fluidi; • in presenza di malattie epatiche: possibile epatotossicità; • reidratare il soggetto prima dell'inizio e nel corso del trattamento in caso di disidratazione (ad esempio per febbre, vomito o diarrea); Le seguenti precauzioni assumono rilevanza nel corso di trattamenti prolungati: • sorvegliare i segni o sintomi di ulcerazioni o sanguinamenti gastrointestinali; • sorvegliare i segni o sintomi di epatotossicità; • sorvegliare i segni o sintomi di nefrotossicità; • se insorgono disturbi visivi (vista offuscata o ridotta, scotomi, alterazione della percezione dei colori): interrompere il trattamento e consultare l'oculista; • se insorgono segni o sintomi di meningite: valutare la rara possibilità che essa sia dovuta all'uso di ibuprofene (meningite asettica; più frequente nei soggetti affetti da lupus eritematoso sistemico o altre collagenopatie). Informations importantes sur certains ingrédients: ALGOPYRIN FEVER AND PAIN contient du maltitol liquide. Les patients présentant des problèmes héréditaires rares d'intolérance au fructose ne doivent pas prendre ce médicament. ALGOPYRINE FEVER AND PAIN ne contient pas de sucre et est donc indiqué pour les patients qui ont besoin de contrôler leur apport en sucres et en calories. Ce médicament contient 4,51 mg de sodium dans chaque dose de 2,5 ml, soit 0,23 % de l'apport quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte. Ceci doit être pris en considération chez les enfants ou dans les cas où un régime pauvre en sodium est recommandé. Ce médicament contient du potassium, moins de 1 mmol (39 mg) par dose de 2,5 ml, c'est-à-dire essentiellement « sans potassium ».

La grossesse et l'allaitement

Il est peu probable que les personnes de moins de 12 ans tombent enceintes ou allaitent. Cependant, dans de telles circonstances, les considérations suivantes doivent être gardées à l'esprit.Grossesse: Pendant le premier et le deuxième trimestre de la grossesse, l'administration d'ibuprofène doit être évitée. L'ibuprofène est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse. L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut nuire à la grossesse et/ou au développement embryonnaire/fœtal. Les résultats d'études épidémiologiques suggèrent un risque accru de fausse couche et de malformation cardiaque et de gastroschisis après l'utilisation d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformations cardiaques est passé de moins de 1 % à environ 1,5 %. On a considéré que le risque augmentait avec la dose et la durée du traitement. Chez les animaux, il a été démontré que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes avant et après l'implantation et de la mortalité embryo-fœtale. De plus, une incidence accrue de diverses malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pendant la période organogénétique. Au cours du troisième trimestre de la grossesse, tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le fœtus à : • une toxicité cardiopulmonaire (avec fermeture prématurée du conduit artériel et hypertension pulmonaire) ; • un dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligo-hydroamnios ; la mère et le nouveau-né, en fin de grossesse, à : • un éventuel allongement du temps de saignement, effet antiplaquettaire pouvant survenir même à très faibles doses ; • inhibition des contractions utérines entraînant un travail retardé ou prolongé.Temps d'alimentation: Il existe des données limitées montrant que l'ibuprofène peut passer à de faibles concentrations dans le lait maternel et qu'il est peu probable qu'il ait des effets indésirables chez les nourrissons.

Expiration et conservation

Pas de particulier.

Interactions avec d'autres médicaments

Les interactions suivantes sont communes à l'ibuprofène, à l'acide acétylsalicylique et aux autres analgésiques, antipyrétiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). L'ibuprofène doit être évité en association avec : • L'acide acétylsalicylique (aspirine) : à moins que l'acide acétylsalicylique à faible dose (pas plus de 75 mg par jour), conformément à la pratique clinique courante, n'ait été conseillé par votre médecin, car il peut augmenter le risque. effets indésirables (voir rubrique 4.4). Les données expérimentales indiquent que l'ibuprofène peut inhiber les effets de l'acide acétylsalicylique à faible dose sur l'agrégation plaquettaire lorsque les médicaments sont administrés de manière concomitante. Cependant, la rareté des données et les incertitudes liées à l'application des données extrapolées ex vivo à la situation clinique ne permettent pas de tirer des conclusions définitives sur l'utilisation régulière de l'ibuprofène ; des effets cliniquement significatifs d'une utilisation occasionnelle d'ibuprofène sont peu probables (voir rubrique 5.1) ; • Autres AINS dont les inhibiteurs sélectifs de la cyclooxygénase-2 : éviter l'utilisation simultanée de deux ou plusieurs antalgiques, antipyrétiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens : risque majoré d'effets indésirables (voir rubrique 4.4) ; L'ibuprofène doit être utilisé avec prudence en association avec : • des corticoïdes : risque accru d'ulcération ou d'hémorragie gastro-intestinale (voir rubrique 4.4) ; • antibiotiques quinolones : les données d'études animales indiquent que les AINS peuvent augmenter le risque de convulsions associées aux antibiotiques quinolones. Les patients prenant des AINS et des quinolones peuvent présenter un risque accru de développer des convulsions ; anticoagulants, tels que la warfarine : les AINS peuvent augmenter les effets des anticoagulants, tels que la warfarine (voir rubrique 4.4) ; • agents antiplaquettaires et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) : risque accru d'hémorragie gastro-intestinale (voir rubrique 4.4) ; • antidiabétiques : majoration possible de l'effet des sulfamides hypoglycémiants ; • antiviraux, comme le ritonavir : augmentation possible de la concentration des AINS ; • cyclosporine : risque accru de néphrotoxicité • mifépristone : les AINS ne doivent pas être administrés dans les 8 à 12 jours suivant la prise de mifépristone car ils peuvent réduire son efficacité ; • cytotoxique : méthotrexate, excrétion réduite (risque accru de toxicité) ; • lithium : excrétion réduite (risque accru de toxicité) ; • tacrolimus : risque accru de néphrotoxicité ; • uricosuriques : probénécide, ralentit l'excrétion des AINS (augmentation des concentrations plasmatiques) ; • méthotrexate : augmentation potentielle de la concentration plasmatique de méthotrexate ; • zidovudine : risque accru de toxicité sanguine lorsque les AINS sont utilisés en association avec la zidovudine. Il existe des preuves d'un risque accru d'hémarthroses et d'hématomes chez les hémophiles VIH (+) lorsqu'ils sont traités en concomitance avec la zidovudine et l'ibuprofène ; • diurétiques, inhibiteurs de l'ECA et antagonistes de l'angiotensine II : les AINS peuvent réduire l'effet des diurétiques et d'autres antihypertenseurs. Chez certains patients présentant une insuffisance rénale (par exemple, les patients déshydratés ou les patients âgés présentant une insuffisance rénale), la co-administration d'un inhibiteur de l'ECA ou d'un antagoniste de l'angiotensine II et d'agents qui inhibent le système cyclo-oxygénase peut entraîner une détérioration supplémentaire de la fonction rénale, notamment possible insuffisance rénale aiguë, généralement réversible. Ces interactions doivent être prises en compte chez les patients prenant ALGOPYRIN FEVER AND DOULEUR en concomitance avec des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes de l'angiotensine II. Par conséquent, l'association doit être administrée avec prudence, en particulier chez les patients âgés. Les patients doivent être suffisamment hydratés et une surveillance de la fonction rénale doit être envisagée après le début du traitement concomitant ; • glycosides cardiaques : les AINS peuvent aggraver l'insuffisance cardiaque, réduire le VGF (taux de filtration glomérulaire) et augmenter les taux plasmatiques de glycosides.

Surdosage

ToxicitéLes signes et symptômes de toxicité n'ont généralement pas été observés à des doses inférieures à 100 mg/kg chez les enfants et les adultes. Cependant, un traitement de soutien peut être nécessaire dans certains cas. On a observé que des enfants présentaient des signes et des symptômes de toxicité après l'ingestion d'ibuprofène à des doses de 400 mg/kg ou plus. La demi-vie du médicament en cas de surdosage est de 1,5 à 3 heures.Les symptômesLa plupart des patients qui ont ingéré des quantités importantes d'ibuprofène ressentiront des symptômes dans les 4 à 6 heures. Les symptômes de surdosage les plus fréquemment signalés sont les suivants : nausées, vomissements, douleurs abdominales, léthargie et somnolence. Les effets sur le système nerveux central (SNC) comprennent les maux de tête, les acouphènes, les étourdissements, les convulsions et la perte de conscience. De rares cas de nystagmus, d'acidose métabolique, d'hypothermie, d'effets rénaux, d'hémorragie gastro-intestinale, de coma, d'apnée, de diarrhée et de dépression du SNC et respiratoire ont également été signalés. Désorientation, état d'éveil, évanouissement et toxicité cardiovasculaire incluant hypotension, bradycardie et tachycardie ont été rapportés. En cas de surdosage important, une insuffisance rénale et des lésions hépatiques sont possibles. En cas d'intoxication grave, une acidose métabolique peut survenir.TraitementIl n'existe pas d'antidote spécifique au surdosage d'ibuprofène. Un traitement symptomatique de soutien est donc indiqué en cas de surdosage. Une attention particulière est portée au contrôle de la tension artérielle, de l'équilibre acido-basique et des éventuels saignements gastro-intestinaux. L'administration de charbon actif doit être envisagée dans l'heure suivant l'ingestion d'une quantité potentiellement toxique. Alternativement, un lavage gastrique doit être envisagé chez les adultes dans l'heure suivant l'ingestion d'un surdosage potentiellement mortel. Une diurèse adéquate doit être assurée et les fonctions rénale et hépatique doivent être étroitement surveillées. Le patient doit rester sous observation pendant au moins quatre heures après l'ingestion d'une quantité potentiellement toxique de médicament. La survenue de crises fréquentes ou prolongées doit être traitée avec du diazépam intraveineux, selon l'état clinique du patient, d'autres mesures de soutien peuvent être nécessaires. Pour plus d'informations, contactez votre centre antipoison local.

Principes actifs

Chaque ml de suspension buvable contient : Ingrédient actif : ibuprofène 20 mg. Excipients à effet notoire : maltitol liquide, sodium. Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

Excipients

ALGOPYRIN FIÈVRE ET DOULEURS Enfant 100mg/5ml suspension buvable arôme fraise sans sucre :Acide citrique monohydraté, citrate de sodium, acésulfame potassique, gomme xanthane, benzoate de sodium, arôme fraise, sirop de maltitol, glycérine, eau purifiée.ALGOPYRIN FIÈVRE ET DOULEURS Enfant 100mg/5ml suspension buvable arôme orange sans sucre: Acide citrique monohydraté, citrate de sodium, acésulfame potassique, gomme xanthane, benzoate de sodium, arôme orange, sirop de maltitol, glycérine, eau purifiée.

042178020

Data sheet

Emballage
100 mg/5 ml sospensione orale 1 flacone 150 ml con siringa dosatrice
type de produit
DROGUE HUMAINE
Code ATC
M01AE01
Descriptif ATC
Ibuprofène
Groupe thérapeutique
analgésiques AINS
Principe actif
ibuprofène (DC.IT) (FU)
Classer
C
Formulaire pharmaceutique
Suspension
Type de gestion
oral
Récipient
flacon
Quantité
1 flacon / flacon / flacon
Capacité
150 millilitres
Quantité de l'ingrédient actif
20MG
Recette requise
SOP - médicament sans ordonnance
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