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ALGOFEN * 24CPR RIV 200MG

  • 023766037
Caractéristiques:


Indiqué en cas de maux de tête, maux de dents et douleurs menstruelles.


Indiqué en cas de névralgie et de douleurs articulaires.


Médicament en vente libre déductible.


A partir de 12 ans.


















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ALGOFEN * 24CPR RIV 200MG

Indications thérapeutiques

Douleurs d'origines et de nature diverses (maux de tête, maux de dents, névralgies, douleurs ostéoarticulaires et musculaires, douleurs menstruelles).

Posologie et mode d'utilisation

Dosage.Adultes et enfants de plus de 12 ans :1 à 2 comprimés enrobés 2 à 3 fois par jour. Ne pas dépasser la dose de 6 comprimés enrobés par jour. Ne pas dépasser les doses recommandées : en particulier les patients âgés doivent respecter les posologies minimales indiquées ci-dessus. Les effets indésirables peuvent être minimisés en utilisant la dose efficace la plus faible pendant la durée de traitement la plus courte possible nécessaire pour contrôler les symptômes (voir rubrique 4.4).Mode d'administration: Il est conseillé de prendre le médicament à jeun. Si l'utilisation du médicament est nécessaire pendant plus de 3 jours chez l'adolescent, ou en cas d'aggravation des symptômes, le médecin doit être consulté.

Contre-indications

• Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1 ; • Sujets présentant une hypersensibilité à l'acide acétylsalicylique ou à d'autres analgésiques, antipyrétiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en particulier lorsque l'hypersensibilité est associée à une polypose nasale et à de l'asthme, et présente un bronchospasme, de l'urticaire ou une rhinite aiguë (voir également paragraphe 4.4 ); • Ne pas administrer aux moins de 12 ans ; • Ulcère peptique sévère ou actif (voir rubrique 4.4) ; • Antécédents d'hémorragie gastro-intestinale ou de perforation liée à des traitements actifs antérieurs ou antécédent d'hémorragie gastro-duodénale/d'ulcère récurrents (deux épisodes distincts ou plus d'ulcération ou d'hémorragie prouvée) ; • Troubles hématopoïétiques d'origine inconnue ; • Hémorragie cérébrovasculaire ou autre ; • Troubles entraînant une tendance accrue aux saignements ; • insuffisance hépatique ou rénale sévère (voir rubrique 4.4) ; • Déshydratation sévère (causée par des vomissements, une diarrhée ou un apport hydrique insuffisant) ; • Troisième trimestre de grossesse (voir rubrique 4.6) ; • Insuffisance cardiaque sévère (NYHA classe IV).

Effets secondaires

Les événements indésirables les plus fréquemment observés sont de nature gastro-intestinale. Des ulcères peptiques, des perforations gastro-intestinales ou des hémorragies, parfois mortelles, peuvent survenir, en particulier chez les personnes âgées (voir rubrique 4.4). Les effets secondaires dépendent principalement de la dose et peuvent varier d'un patient à l'autre. En particulier, le risque d'hémorragie gastro-intestinale dépend de la dose et de la durée du traitement. Nausées, vomissements, diarrhée, flatulences, constipation, dyspepsie, douleurs abdominales, méléna, hématémèse, stomatite ulcéreuse, exacerbation de colite et maladie de Crohn ont été rapportés suite à l'administration d'ALGOFEN (voir rubrique 4.4). La gastrite a été observée moins fréquemment. L'oedème, l'hypertension et l'insuffisance cardiaque ont été rapportés en association avec le traitement par AINS. Réactions bulleuses incluant le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique (très rarement). Des études cliniques suggèrent que l'utilisation d'ibuprofène, en particulier à des doses élevées (2400 mg/jour), peut être associée à une légère augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels (par exemple, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral) (voir rubrique 4.4). Certains des effets indésirables énumérés ci-dessous sont moins fréquents lorsque la dose quotidienne maximale est de 1200 mg par rapport à un traitement à dose élevée chez les patients rhumatismaux. Les effets indésirables sont répertoriés ci-dessous par classe de système d'organe et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥1/100, Infections et infestations. Très rare : aggravation de l'inflammation associée à une infection (par exemple, développement d'une fasciite nécrosante) décrite en association avec l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens¹.Troubles du système sanguin et lymphatique. Très rare : thrombocytopénie, anémie, leucopénie, pancytopénie, agranulocytose².Troubles du système immunitaire. Peu fréquent : réactions d'hypersensibilité, y compris rash cutané, urticaire, prurit, purpura et crises d'asthme (parfois avec hypotension) ; (voir rubrique 4.4). Rare : syndrome lupique érythémateux ; Très rare : réaction anaphylactique, œdème de Quincke.Troubles psychiatriques. Rare : dépression, confusion, hallucinations, réactions psychotiques.Troubles du système nerveux. Fréquents : céphalées (voir rubrique 4.4), somnolence, étourdissements, fatigue, agitation, étourdissements, insomnie, irritabilité ; Peu fréquent : paresthésie ; Rare : méningite aseptique³ (voir rubrique 4.4), accident vasculaire cérébral.Troubles oculaires. Fréquent : troubles visuels5; Rare : amblyopie.Troubles de l'oreille et du labyrinthe. Rare : acouphènes, troubles auditifs.Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux. Peu fréquent : bronchospasme, rhinite.Pathologies cardiaques. Très rare : palpitations, insuffisance cardiaque (voir rubrique 4.4), infarctus du myocarde, œdème pulmonaire aigu, œdème (voir rubrique 4.4).Pathologies vasculaires. Très rare:hypertension(voir rubrique 4.4).Problèmes gastro-intestinaux. Très fréquent : troubles gastro-intestinaux, tels que brûlures d'estomac, dyspepsie, douleurs abdominales, nausées, vomissements, flatulences, diarrhée, constipation ; Fréquents : ulcères gastro-intestinaux, parfois avec saignement et perforation (voir rubrique 4.4), perte de sang occulte pouvant entraîner une anémie, méléna, hématémèse, stomatite ulcéreuse, colite, exacerbation d'une maladie intestinale inflammatoire, complications de diverticules coliques (perforation, fistule) ; Rare:gastrite; Rare : aggravation de la colite et de la maladie de Crohn (voir rubrique 4.4) ; Très rare : œsophagite, pancréatite, rétrécissement intestinal.Affections hépatobiliaires. Rare:hépatite, jaunisse, altération de la fonction hépatique; Très rare : anomalies des tests de la fonction hépatique, hépatite aiguë, atteinte hépatique4surtout en cas d'utilisation à long terme, insuffisance hépatique.Affections de la peau et du tissu sous-cutané. Commun:éruption; Peu fréquent : prurit, purpura, réaction de photosensibilité ; Très rare : formes sévères de réactions cutanées (érythème polymorphe, dermatite exfoliative, réactions bulleuses dont syndrome de Steven-Johnson et nécrolyse épidermique toxique, alopécie, fasciite nécrosante (voir rubrique 4.4). Des infections cutanées graves avec complications des tissus mous peuvent survenir au cours de la varicelle ; Non connu : réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (syndrome DRESS), pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG).Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif. Fréquence indéterminée : raideur musculo-squelettique.Troubles rénaux et urinaires. Rare:développement d'œdèmes, en particulier chez les patients souffrant d'hypertension artérielle ou d'insuffisance rénale, syndrome néphrotique, néphrite interstitielle pouvant être associée à une insuffisance rénale6; Rare : insuffisance rénale, atteinte du tissu rénal (nécrose papillaire4), augmentation de la concentration sérique d'acide urique ; Très rare : hématurie.Troubles de l'appareil reproducteur et des seins. Très rare : troubles menstruels.Examens diagnostiques. Rare : augmentation de l'azote uréique, des transaminases et de la phosphatase alcaline, diminution des valeurs d'hémoglobine et d'hématocrite, inhibition de l'agrégation plaquettaire, allongement du temps de saignement, diminution du calcium sérique, augmentation de l'acide urique. ¹ Ceci est probablement lié au mécanisme d'action des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Si des signes d'infection apparaissent au cours du traitement par l'ibuprofène ou si une aggravation de l'infection est constatée, il est conseillé au patient de consulter un médecin sans tarder. Il convient donc d'évaluer s'il existe un besoin de traitement anti-infectieux / antibiotique. ² Les premiers signes sont : fièvre, mal de gorge, aphtes superficiels, symptômes pseudo-grippaux, fatigue intense, ecchymoses et saignements inexpliqués. Ces dyscrasies sanguines peuvent apparaître notamment après une utilisation prolongée à fortes doses. Dans le cadre d'un traitement au long cours, les tests sanguins doivent être effectués progressivement (voir rubrique 4.4). ³ Les premiers symptômes sont : tension de la nuque, maux de tête, nausées, vomissements, fièvre, désorientation ou trouble de la conscience. Les patients atteints de maladies auto-immunes (lupus érythémateux disséminé, connectivite mixte) semblent être prédisposés (voir rubrique 4.4).4Surtout en thérapie de longue durée. 5 Des troubles oculaires réversibles, tels qu'une amblyopie toxique, une vision floue et des changements dans la perception des couleurs, ont été observés. En cas de telles réactions, l'ibuprofène doit être arrêté.6Divers degrés d'insuffisance rénale peuvent survenir, en particulier lors d'une utilisation à long terme de fortes doses. Une détérioration soudaine de la fonction rénale peut également être associée à une réaction d'hypersensibilité généralisée.Déclaration des effets indésirables suspectés. La déclaration des effets indésirables suspectés survenant après l'autorisation du médicament est importante, car elle permet un suivi continu du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé sont invités à déclarer tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration à :https://www.aifa.gov.it/content/segnalazioni-reazioni-avverse.

Avertissements spéciaux

Après trois jours de traitement sans résultats appréciables, consultez votre médecin. Chez les patients asthmatiques, le produit doit être utilisé avec prudence en consultant votre médecin avant de prendre le produit. L'utilisation concomitante d'ALGOFEN doit être évitée avec des AINS, y compris des inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (voir rubrique 4.5). Les effets indésirables peuvent être minimisés en utilisant la dose efficace la plus faible pendant la durée de traitement la plus courte possible nécessaire pour contrôler les symptômes (voir ci-dessous sur les risques gastro-intestinaux et cardiovasculaires). Comme les autres AINS, l'ibuprofène peut masquer les signes et symptômes d'infection en raison de ses propriétés pharmacodynamiques.Personnes âgées:Les patients âgés présentent une fréquence accrue d'effets indésirables aux AINS, en particulier des saignements gastro-intestinaux et des perforations, qui peuvent être fatals (voir rubrique 4.2).Effets cardiovasculaires et cérébrovasculaires: Des études cliniques suggèrent que l'utilisation d'ibuprofène, en particulier à des doses élevées (2400 mg/jour) peut être associée à une légère augmentation du risque d'événements thrombotiques artériels (par exemple, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral). En général, les études épidémiologiques ne suggèrent pas que de faibles doses d'ibuprofène (par exemple ≤ 1200 mg/jour) soient associées à un risque accru d'événements thrombotiques artériels. Les patients souffrant d'hypertension non contrôlée, d'insuffisance cardiaque congestive (classe II-III de la NYHA), d'une cardiopathie ischémique établie, d'une maladie artérielle périphérique et/ou d'une maladie cérébrovasculaire ne doivent être traités par l'ibuprofène qu'après un examen attentif et des doses élevées (2 400 mg/jour) doivent être évitées. . ). Une attention particulière doit également être exercée avant d'initier un traitement à long terme chez les patients présentant des facteurs de risque d'événements cardiovasculaires (par exemple, hypertension, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme), en particulier en cas de doses élevées (2 400 mg/jour) d'ibuprofène. La prudence est requise avant de commencer le traitement chez les patients ayant des antécédents d'hypertension et/ou d'insuffisance cardiaque, car une rétention hydrique, une hypertension et un œdème ont été rapportés en association avec un traitement par AINS.Effets gastro-intestinaux: Hémorragies, ulcérations et perforations gastro-intestinales : Des hémorragies, ulcérations et perforations gastro-intestinales, qui peuvent être mortelles, ont été rapportées au cours du traitement par tous les AINS, à tout moment, avec ou sans symptômes d'alerte ou antécédent d'événements gastro-intestinaux graves. Chez les personnes âgées et les patients ayant des antécédents d'ulcère, en particulier s'ils sont compliqués d'hémorragie ou de perforation (voir rubrique 4.3), le risque d'hémorragie, d'ulcération ou de perforation gastro-intestinale est plus élevé avec des doses croissantes d'AINS. Ces patients doivent commencer le traitement avec la plus faible dose disponible. L'utilisation concomitante d'agents protecteurs (misoprostol ou inhibiteurs de la pompe à protons) doit être envisagée chez ces patients ainsi que chez les patients prenant de faibles doses d'aspirine ou d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque d'événements gastro-intestinaux (voir ci-dessous et rubrique 4.5). Les patients ayant des antécédents de toxicité gastro-intestinale, en particulier les personnes âgées, doivent signaler tout symptôme gastro-intestinal inhabituel (en particulier les saignements gastro-intestinaux), en particulier au début du traitement. La prudence s'impose chez les patients prenant des médicaments concomitants susceptibles d'augmenter le risque d'ulcération ou de saignement, tels que les corticoïdes oraux, les anticoagulants tels que la warfarine, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou les agents antiplaquettaires tels que l'aspirine (voir rubrique 4.5). En cas d'hémorragie gastro-intestinale ou d'ulcération chez les patients prenant ALGOFEN, le traitement doit être interrompu. Les AINS doivent être administrés avec prudence chez les patients ayant des antécédents de maladie gastro-intestinale (colite ulcéreuse, maladie de Crohn) car ces affections peuvent être exacerbées (voir rubrique 4.8).Effets hépatiques: Lorsque l'ibuprofène est prescrit à des patients présentant une insuffisance hépatique, une surveillance médicale étroite est requise, car leur état peut être exacerbé. Comme avec les autres AINS, y compris l'ibuprofène, les valeurs d'une ou plusieurs enzymes hépatiques peuvent augmenter. Si l'ibuprofène est prescrit pour une période prolongée, une surveillance régulière de la fonction hépatique est indiquée par mesure de précaution. Si une persistance ou une aggravation des valeurs anormales de la fonction hépatique sont observées, si des signes ou des symptômes compatibles avec le développement d'une maladie hépatique se développent ou si d'autres manifestations (par exemple éosinophilie, éruption cutanée) surviennent, le traitement par l'ibuprofène doit être interrompu. Avec l'utilisation de l'ibuprofène, l'hépatite peut se développer sans symptômes prodromiques. L'ibuprofène est contre-indiqué en cas d'insuffisance hépatique sévère (voir rubrique 4.3). La prudence s'impose lorsque l'ibuprofène est administré à des patients atteints de porphyrie hépatique, car le médicament pourrait déclencher une attaque.Effets rénaux: Comme une rétention hydrique et un œdème ont été rapportés en association avec un traitement par AINS, y compris l'ibuprofène, une prudence particulière est requise chez les patients présentant une fonction cardiaque et rénale altérée, des antécédents d'hypertension, des personnes âgées, des patients recevant un traitement concomitant par des diurétiques ou des médicaments pouvant avoir un impact significatif sur la fonction rénale. fonction, et chez les patients présentant une déplétion substantielle du volume extracellulaire quelle qu'en soit la cause, par exemple avant ou après une intervention chirurgicale majeure. Dans ces cas où l'ibuprofène est administré, une surveillance de la fonction rénale est recommandée par mesure de précaution. L'arrêt du traitement est généralement suivi d'un retour à l'état antérieur au traitement. L'ibuprofène est contre-indiqué en cas d'insuffisance rénale ou cardiaque sévère (voir rubrique 4.3).Réactions cutanées sévères: Des réactions cutanées graves, dont certaines mortelles, incluant dermatite exfoliative, syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique, ont été rarement rapportées en association avec l'utilisation d'AINS dont l'ibuprofène (voir rubrique 4.8). Aux premiers stades du traitement, les patients semblent être plus à risque : le début de la réaction survient dans la plupart des cas au cours du premier mois de traitement. Une pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG) a été rapportée en relation avec des médicaments contenant de l'ibuprofène. ALGOFEN doit être arrêté dès l'apparition des premiers signes et symptômes de réactions cutanées sévères, tels que rash, lésions des muqueuses ou tout autre signe d'hypersensibilité. Aux premiers signes de réactions d'hypersensibilité après administration d'ibuprofène, le traitement doit être interrompu. Les mesures médicalement assistées doivent être initiées par du personnel médical spécialisé, en fonction des symptômes.Maladies respiratoires préexistantes :Chez les patients souffrant d'asthme, de rhinite allergique saisonnière, d'œdème de la muqueuse nasale (par exemple polypose nasale), de maladie pulmonaire obstructive chronique ou d'infections chroniques des voies respiratoires (en particulier lorsqu'elles sont liées à des symptômes similaires à ceux de la rhinite allergique), réactions aux AINS comme exacerbation de l'asthme , l'œdème de Quincke ou l'urticaire sont plus fréquents que chez les autres patients. Une prudence particulière est recommandée chez ces patients (prêt pour les urgences). L'ibuprofène est contre-indiqué chez les sujets présentant une hypersensibilité à l'acide acétylsalicylique ou à d'autres antalgiques, antipyrétiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en particulier lorsque l'hypersensibilité est associée à une polypose nasale et à de l'asthme (voir rubrique 4.3).Lupus érythémateux disséminé (LES) et maladie mixte du tissu conjonctif :Il peut y avoir un risque accru de méningite aseptique chez les patients atteints de LED et de troubles mixtes du tissu conjonctif (voir ci-dessous et rubrique 4.8).Méningite aseptique: Une méningite aseptique a été observée très rarement chez des patients traités par ibuprofène. Bien que cela soit plus susceptible de se produire chez les patients atteints de lupus érythémateux disséminé et de maladies du tissu conjonctif apparentées, cela a également été signalé chez des personnes sans maladie chronique sous-jacente. L'utilisation d'ALGOFEN, comme tout médicament inhibiteur de la synthèse des prostaglandines et de la cyclo-oxygénase, est déconseillée chez les femmes ayant l'intention de devenir enceintes. L'administration d'ALGOFEN doit être interrompue chez les femmes qui ont des problèmes de fertilité ou qui font l'objet d'un examen de fertilité (voir rubrique 4.6). Il existe un risque d'insuffisance rénale chez les adolescents déshydratés.ALGOFEN contient du saccharose: Les patients présentant des problèmes héréditaires rares d'intolérance au fructose, de malabsorption du glucose-galactose ou d'insuffisance en sucrase isomaltase ne doivent pas prendre ce médicament.

La grossesse et l'allaitement

Grossesse: L'inhibition de la synthèse des prostaglandines peut nuire à la grossesse et/ou au développement embryonnaire/fœtal. Les résultats d'études épidémiologiques suggèrent un risque accru de fausse couche et de malformation cardiaque et de gastroschisis après l'utilisation d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformations cardiaques est passé de moins de 1 % à environ 1,5 %. On a considéré que le risque augmentait avec la dose et la durée du traitement. Chez les animaux, il a été démontré que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines entraîne une augmentation des pertes avant et après l'implantation et de la mortalité embryo-fœtale. De plus, une incidence accrue de diverses malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez des animaux ayant reçu des inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines pendant la période organogénétique. Au cours du premier et du deuxième trimestre de la grossesse, ALGOFEN ne doit être administré que dans les cas strictement nécessaires. Si ALGOFEN est utilisé par une femme essayant de concevoir, ou pendant le premier et le deuxième trimestre de la grossesse, la dose et la durée du traitement doivent être maintenues aussi faibles que possible. Au cours du troisième trimestre de la grossesse, tous les inhibiteurs de la synthèse des prostaglandines peuvent exposer le fœtus à : • Une toxicité cardiopulmonaire (avec fermeture prématurée du conduit artériel et hypertension pulmonaire) ; • Dysfonctionnement rénal pouvant évoluer vers une insuffisance rénale avec oligohydramnios. La mère et le nouveau-né, en fin de grossesse, à : • L'allongement éventuel du temps de saignement, et l'effet antiplaquettaire pouvant survenir même à très faibles doses ; • Inhibition des contractions utérines entraînant un travail retardé ou prolongé. Par conséquent, ALGOFEN est contre-indiqué au cours du troisième trimestre de la grossesse.Temps d'alimentation: L'ibuprofène passe dans le lait maternel en petites quantités. Bien qu'aucun effet indésirable chez le nourrisson ne soit connu à ce jour, la prudence s'impose lorsque l'ibuprofène est administré à une femme qui allaite.La fertilitéIl existe des preuves montrant que les médicaments qui inhibent la synthèse de la cyclooxygénase / prostaglandine peuvent entraîner une diminution de la fertilité féminine par effet sur l'ovulation. Cependant, cet événement est réversible à l'arrêt du traitement.

Expiration et conservation

Ce médicament ne nécessite pas de conditions particulières de conservation.

Interactions avec d'autres médicaments

Anticoagulants :Les AINS peuvent augmenter les effets des anticoagulants, tels que la warfarine (voir rubrique 4.4). Toute interaction avec des anticoagulants de type coumarine doit être gardée à l'esprit et, par conséquent, les patients sous traitement avec de tels médicaments doivent consulter leur médecin avant de prendre le produit.Agents antiplaquettaires et inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) :risque accru de saignement gastro-intestinal (voir rubrique 4.4).Corticostéroïdes :risque accru d'ulcération ou d'hémorragie gastro-intestinale (voir rubrique 4.4).L'acide acétylsalicylique:L'administration concomitante d'ibuprofène et d'acide acétylsalicylique n'est généralement pas recommandée en raison du risque d'effets secondaires accrus. Les données expérimentales suggèrent que l'ibuprofène peut inhiber de manière compétitive l'effet de l'acide acétylsalicylique à faible dose sur l'agrégation plaquettaire lorsque les deux médicaments sont administrés simultanément. Bien qu'il existe des incertitudes concernant l'extrapolation de ces données à la situation clinique, la possibilité ne peut être exclue qu'une utilisation régulière et à long terme d'ibuprofène puisse réduire l'effet cardioprotecteur de l'acide acétylsalicylique à faible dose. Aucun effet clinique pertinent n'est considéré comme probable suite à une utilisation occasionnelle d'ibuprofène (voir rubrique 5.1).Autres AINS, y compris les inhibiteurs sélectifs de la COX-2: Eviter l'utilisation concomitante de deux ou plusieurs AINS car cela entraîne un risque accru d'effets indésirables (voir rubrique 4.4).Lithium: l'ibuprofène peut augmenter les concentrations plasmatiques de lithium, du fait d'une élimination réduite de ce dernier. Par conséquent, la surveillance des taux sériques de lithium est recommandée.Glycosides cardiaques: L'ibuprofène, comme les autres AINS, peut exacerber l'insuffisance cardiaque, réduire le débit de filtration glomérulaire (DFG) et augmenter les concentrations plasmatiques des glycosides. Par conséquent, la surveillance des taux sériques de glycosides est recommandée.Diurétiques, inhibiteurs de l'ECA, antagonistes de l'angiotensine II et bêta-bloquants :Les AINS peuvent réduire l'effet des diurétiques et d'autres médicaments antihypertenseurs. Chez certains patients présentant une insuffisance rénale (par exemple, les patients déshydratés ou les patients âgés présentant une insuffisance rénale), la co-administration d'un inhibiteur de l'ECA ou d'un antagoniste de l'angiotensine II et d'agents qui inhibent le système cyclo-oxygénase peut entraîner une détérioration supplémentaire de la fonction rénale, y compris une éventuelle insuffisance rénale aiguë, généralement réversible. Ces interactions doivent être prises en compte chez les patients prenant ALGOFEN en concomitance avec des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes de l'angiotensine II. Par conséquent, l'association doit être administrée avec prudence, en particulier chez les patients âgés. Les patients doivent être suffisamment hydratés et une surveillance de la fonction rénale doit être envisagée après le début du traitement concomitant. L'effet hypotenseur des bêta-bloquants peut être réduit. L'utilisation concomitante d'AINS et de bêta-bloquants peut être associée à un risque d'insuffisance rénale aiguë.Sulfonylurées :Les AINS peuvent potentialiser l'effet des sulfonylurées. De rares cas d'hypoglycémie ont été rapportés chez des patients traités par des sulfonylurées prenant de l'ibuprofène.Méthotrexate :Les AINS peuvent réduire la clairance du méthotrexate en inhibant la sécrétion tubulaire. L'administration d'ibuprofène 24 heures avant ou après l'administration de méthotrexate peut entraîner une augmentation de la concentration de méthotrexate et une augmentation de son effet toxique. Par conséquent, l'utilisation concomitante d'AINS et de doses élevées de méthotrexate doit être évitée. Si l'administration concomitante est nécessaire, le patient doit être étroitement surveillé pour la toxicité, en particulier la myélosuppression et la toxicité gastro-intestinale. De plus, le risque potentiel d'interactions doit également être pris en compte dans le traitement par méthotrexate à faible dose (ciclosporine et tacrolimus : le risque d'effet néphrotoxique dû à la ciclosporine et au tacrolimus dû à une synthèse réduite des prostaglandines dans le rein est augmenté par l'administration concomitante de certaines -anti-inflammatoires stéroïdiens, y compris l'ibuprofène Par conséquent, l'ibuprofène doit être administré à des doses plus faibles que celles utilisées chez les patients ne prenant pas ces agents immunosuppresseurs et la fonction rénale doit être étroitement surveillée.Antibactériens fluoroquinolones :il y a eu des cas isolés de convulsions pouvant avoir été induites par l'utilisation concomitante de fluoroquinolone et d'AINS.Phénytoïne :lorsque la phénytoïne est utilisée en même temps que l'ibuprofène, les taux sanguins de phénytoïne peuvent augmenter. Par conséquent, une surveillance des concentrations plasmatiques de phénytoïne est recommandée.Colestipol et cholestyramine :lorsqu'ils sont administrés en concomitance avec l'ibuprofène, ils peuvent induire un retard ou diminuer l'absorption de ce dernier. Par conséquent, il est recommandé d'administrer l'ibuprofène au moins 1 heure avant ou 4 à 6 heures après l'administration de colestipol/cholestyramine.Inhibiteurs puissants du CYP2C9 :la co-administration d'ibuprofène avec des agents inhibiteurs du CYP2C9 (tels que la sulfinpyrazone, le fluconazole et le voriconazole) nécessite la prudence car elle peut entraîner une augmentation significative des concentrations plasmatiques maximales et de l'exposition à l'ibuprofène en raison de l'inhibition du métabolisme de l'ibuprofène. Dans une étude avec le voriconazole et le fluconazole (inhibiteurs du CYP2C9), une augmentation de l'exposition au S (+) - ibuprofène d'environ 80 à 100 % a été mise en évidence. Par conséquent, une réduction de la dose d'ibuprofène doit être envisagée en cas d'administration concomitante avec des inhibiteurs puissants du CYP2C9, en particulier lorsque des doses élevées d'ibuprofène sont administrées avec du voriconazole ou du fluconazole.Zidovudine :il existe un risque accru de toxicité hématologique en cas d'administration concomitante avec des AINS. Il existe des preuves d'un risque accru d'hémarthroses et d'hématomes chez les patients hémophiles séropositifs traités simultanément par la zidovudine et l'ibuprofène.Alcool, bisphosphonates et pentoxifylline: peut potentialiser les effets secondaires gastro-intestinaux et le risque de saignement et d'ulcère.Baclofène: augmentation de la toxicité du baclofène.Extraits de plantes: Le Ginkgo Biloba peut augmenter le risque de saignement lorsqu'il est pris en association avec des AINS.

Surdosage

ToxicitéLes signes et symptômes de toxicité n'ont généralement pas été observés à des doses inférieures à 100 mg/kg chez les enfants ou les adultes. Cependant, un traitement de soutien peut être nécessaire dans certains cas. On a observé que des enfants présentaient des signes et des symptômes de toxicité après l'ingestion d'ibuprofène à des doses de 400 mg/kg ou plus.Les symptômesEn cas d'intoxication grave, une acidose métabolique peut survenir. La plupart des patients qui ont ingéré des quantités importantes d'ibuprofène ressentiront des symptômes dans les 4 à 6 heures. Les symptômes de surdosage les plus fréquemment signalés sont les suivants : nausées, vomissements, douleurs abdominales, léthargie et somnolence. Les effets sur le système nerveux central (SNC) comprennent des maux de tête, des acouphènes, des étourdissements, des convulsions (y compris des convulsions myocloniques chez les enfants), des étourdissements et une perte de conscience. Un allongement du temps de prothrombine/INR peut survenir en cas d'intoxication grave, probablement en raison d'une interférence avec les actions des facteurs de coagulation circulants. Nystagmus, acidose métabolique, hypothermie, effets rénaux, hémorragie gastro-intestinale, coma, apnée, cyanose, diarrhée et dépression du SNC et respiratoire ont également été rarement signalés. Désorientation, état d'éveil, évanouissement et toxicité cardiovasculaire incluant hypotension, bradycardie, tachycardie ont été rapportés. Chez les patients asthmatiques, une exacerbation de la maladie est possible. En cas de surdosage important, une insuffisance rénale et des lésions hépatiques sont possibles.TraitementIl n'existe pas d'antidote spécifique au surdosage d'ibuprofène. En cas de surdosage, un traitement symptomatique et de soutien est donc indiqué. Une attention particulière est portée au contrôle de la tension artérielle, de l'équilibre acido-basique et des éventuels saignements gastro-intestinaux. L'administration de charbon actif doit être envisagée dans l'heure suivant l'ingestion d'une quantité potentiellement toxique. Alternativement, un lavage gastrique doit être envisagé chez les adultes dans l'heure suivant l'ingestion d'un surdosage potentiellement mortel. Une diurèse adéquate doit être assurée et les fonctions rénale et hépatique étroitement surveillées. Le patient doit rester sous observation pendant au moins quatre heures après l'ingestion d'une quantité potentiellement toxique de médicament. Toute survenue de crises fréquentes ou prolongées doit être traitée avec du diazépam intraveineux. Selon l'état clinique du patient, d'autres mesures de soutien peuvent être nécessaires. Pour plus d'informations, contactez votre centre antipoison local.

Principes actifs

Un comprimé enrobé contient :Principe actif :ibuprofène 200 mg. Excipient à effet notoire : saccharose. Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.

Excipients

Amidon de maïs, acide stéarique, croscarmellose sodique, silice colloïdale anhydre, povidone, carmellose sodique, gomme laque, gomme arabique, dioxyde de titane, sulfate de calcium, saccharose, cire de carnauba.

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Data sheet

Emballage
200 mg 24 comprimés enrobés
type de produit
DROGUE HUMAINE
Code ATC
M01AE01
Descriptif ATC
Ibuprofène
Groupe thérapeutique
analgésiques AINS
Principe actif
ibuprofène (DC.IT) (FU)
Classer
C
Formulaire pharmaceutique
comprimé enrobé
des comprimés enrobés
Type de gestion
oral
Récipient
cloque
Quantité
24 comprimés enrobés
Quantité de l'ingrédient actif
200MG
Recette requise
OTC - médecine d'automédication
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